Neige et glace, le royaume de l’ours polaire (Spitzberg)

La raison d’être d’un voyage au Spitzberg au printemps, c’est l’espoir de rencontrer l’ours polaire dans son milieu naturel: la banquise. La fenêtre n’est pas évidente à saisir. Faute de disposer d’un bateau brise-glaces, il faut attendre que la glace de l’hiver ait fondu et quitté les îles du nord de l’archipel, lieu privilégié pour observer les ours, et que le vent du nord ne ramène pas de glace pour vous en défendre l’accès. L’idée est en effet de pouvoir gagner le fond des fjords, encore gelé, pour tenter de trouver un phoque et, partant de là, les traces d’un ours voire l’ours lui-mêle! Pour cela, il faut enfin passer quelques journées derrière les jumelles, se frotter les yeux régulièrement et ne pas se décourager en constatant combien le Spitzberg est riche en gros cailloux blancs…

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Un mois d’août sur les traces d’ours polaires (Spitzberg)

Au cœur de l’Arctique, à mi-chemin entre le nord de la Norvège et le Pôle Nord, l’archipel du Svalbard a de quoi attirer l’amateur de terres polaires. Dans mon imagination, alimentée par une tradition familiale (voyages en 1936 (!) et 2002), il devait proposer d’immenses glaciers se jetant dans la mer ainsi qu’une banquise où se promèneraient des ours polaires.

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